B
Balto76
Non Membre
Bonjour à tous,
Depuis quelques mois, j’ai entamé une restauration interminable d’un Williams Taxi. Je me suis décidé car le plateau était attaqué par endroit et jauni à un stade insuportable. Il fallait absolution abraser la nicotine et redonner un peu de peps aux couleurs.
Tout à bien débuté, le démontage s’est bien déroulé. La démylarisation a été pluis délicate :/, elle a embarqué plusieurs inserts qui ont du être redessiné par retouche ou carrement revectorisés et imprimés.
C'est choqhant la diference entre le les parties nues exposées
à la nicotine et les zones protégées par le mylar.
V'la quelques inserts qui ont sauté...
Le plus délicat a té la tête de père noêl bien trop difficile à refaire à la main donc bonjour l'infographie.
Une fois les inserts prêt et imprimé sur papier retroprojection, je les colle sur le plateau à la vitrif polyuréthane
Les retouches une fois terminées, tout était près pour vitrifier, je me lance…
1ère couche nickel ainsi que la seconde, je continue jusqu'à obtenir une vrai dalle et effacé les aspérités du plateau. Je m’arrête donc à 5 couches.
Je travail en déplacement, ce qui laisse la semaine pour secher et durcir, je reviens le vendredi soir : CATASTROPHE !
Le plateau était tout jauni et mat, la vitrif n’était pas dure, ça faisait une surface caoutchouteuse. J’ai appris que le fait d’avoir mis trop de couche avait éttoufé les premières couches et donc elles n’ont jamais pu seché ce qui explique la reaction. Voila, grace à moi, vous avez l'exemple de ce qu'il ne faut pas faire.
Surpri et dépité, je commence à retirer la vitrif. Surprise, ça se retire comme un mylar sauf que les premières couches adhères encore. Une fois retirer le plus gros, je gratte avec un couteau à peintre les premières couches rebelles.
J’étais démoralisé car beaucoup d’inserts qui avait tenu lors de la démylarisation n’ont pas supporté la « dévitrification », et retirer meme minutieusement les couches de vitrifs dure au couteau ont couté un peu de peinture…
Bref je me suis retrouvé avec plus de boulot que j’en avais à faire au départ.:|
Voilà ou j’en suis aujourd’hui, j’ai poncé la zone bleu des inserts de personnages jusqu'à plus de vitrif. là, retouche en folie, peinture maquette sur les inserts ebréchés et le bleu puis voilà le resultat. Maintenant je suis bon à faire la même chose sur tout le reste du plateau… j’ai pas fini.
Je vous tiens au courant de la progression de cet épopée dont on ne verra pas encore l'épilogue.
Depuis quelques mois, j’ai entamé une restauration interminable d’un Williams Taxi. Je me suis décidé car le plateau était attaqué par endroit et jauni à un stade insuportable. Il fallait absolution abraser la nicotine et redonner un peu de peps aux couleurs.
Tout à bien débuté, le démontage s’est bien déroulé. La démylarisation a été pluis délicate :/, elle a embarqué plusieurs inserts qui ont du être redessiné par retouche ou carrement revectorisés et imprimés.
C'est choqhant la diference entre le les parties nues exposées
à la nicotine et les zones protégées par le mylar.
V'la quelques inserts qui ont sauté...
Le plus délicat a té la tête de père noêl bien trop difficile à refaire à la main donc bonjour l'infographie.
Une fois les inserts prêt et imprimé sur papier retroprojection, je les colle sur le plateau à la vitrif polyuréthane
Les retouches une fois terminées, tout était près pour vitrifier, je me lance…
1ère couche nickel ainsi que la seconde, je continue jusqu'à obtenir une vrai dalle et effacé les aspérités du plateau. Je m’arrête donc à 5 couches.
Je travail en déplacement, ce qui laisse la semaine pour secher et durcir, je reviens le vendredi soir : CATASTROPHE !
Le plateau était tout jauni et mat, la vitrif n’était pas dure, ça faisait une surface caoutchouteuse. J’ai appris que le fait d’avoir mis trop de couche avait éttoufé les premières couches et donc elles n’ont jamais pu seché ce qui explique la reaction. Voila, grace à moi, vous avez l'exemple de ce qu'il ne faut pas faire.
Surpri et dépité, je commence à retirer la vitrif. Surprise, ça se retire comme un mylar sauf que les premières couches adhères encore. Une fois retirer le plus gros, je gratte avec un couteau à peintre les premières couches rebelles.
J’étais démoralisé car beaucoup d’inserts qui avait tenu lors de la démylarisation n’ont pas supporté la « dévitrification », et retirer meme minutieusement les couches de vitrifs dure au couteau ont couté un peu de peinture…
Bref je me suis retrouvé avec plus de boulot que j’en avais à faire au départ.:|
Voilà ou j’en suis aujourd’hui, j’ai poncé la zone bleu des inserts de personnages jusqu'à plus de vitrif. là, retouche en folie, peinture maquette sur les inserts ebréchés et le bleu puis voilà le resultat. Maintenant je suis bon à faire la même chose sur tout le reste du plateau… j’ai pas fini.
Je vous tiens au courant de la progression de cet épopée dont on ne verra pas encore l'épilogue.